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Site généalogique familial privé
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Historique des PAVAGEAU


Etymologie du Patronyme PAVAGEAU.


Comme dans la plupart des patronymes, l'origine de PAVAGEAU se trouve dans le nom lui-même, il suffit d'ôter le A et le U et on a le mot "Pavage".

On trouve deux version au terme "Pavage", l'une est une taxe qui frappe les riverains d'une rue pavée (taxe non abrogée à ce jour), je ne retiendrai pas cette thèse car le patronyme PAVAGEAU est bien antérieur à la création de cette taxe.

Pour moi l'origine quasi-certaine et logique provient du verbe "Paver", celui qui "pave", c'est à dire le poseur de pavés tout simplement, le "pavage", activité probable de nos ancêtres.

Si actuellement on trouve des PAVAGEAU aux quatre coins de l'hexagone, voire au delà, il ne fait aucun doute que l'origine de notre patronyme se situe au Nord de la Vendée, voire plus précisément au Sud de la Loire Atlantique où plutôt de la Bretagne, car notre patronyme est plus ancien que les départements.

Mes recherches généalogiques m'ont menées dans un lieu-dit de l'ancienne commune, aujourd'hui rattachée à Vieillevigne, la Planche, ce lieu-dit se nommant tout bêtement la "Pavagère" !!

Des PAVAGEAU c'est sûr ont résidé dans ce lieu-dit, est-ce eux qui lui ont donné son nom, c'est possible, où est-ce que ce sont les habitants de la "Pavagère" qui sont devenus des "PAVAGEAU", la question reste posée, mais cette seconde hypothèse me plaît bien.


Mes recherches concernant l'origine de nos ancêtres PAVAGEAU, me mène à Saint Hilaire de Loulay en Vendée dans la région de Montaigu, c'est en effet dans cette commune que semble installé Mathurin PAVAGEAU né vers 1650.

De là à penser que le noyau de la souche se situe à Saint Hilaire, c'est moins évident et les archives de cette commune ne permettent pas d'en savoir plus. Ce qui est sûr c'est que les PAVAGEAU sont très nombreux dans toute cette région dans les années 1700, on retrouve de nombreuses branches antérieures à notre ancêtre, du côté de Saint André Treize Voies, Vieillevigne de même que dans de nombreuses communes du Sud Loire.

Nous sommes plusieurs généalogistes à avoir tenté de faire un rapprochement de notre branche avec d'autres branches probablement cousines, mais sans y parvenir.


Mathurin PAVAGEAU (n°1) avait deux frères Pierre et Etienne, récemment, j'ai réussi à reconstituer avec certitude la descendance de Pierre, quand à Etienne, souvent cité comme témoin on ne sait rien d'autre sur lui.

Mathurin avait épousé vers 1680 Jeanne NERRIERE, Jeanne décédera en 1713 alors que Mathurin était décédé en 1700. Le couple eut six enfants, trois filles et trois garçons, les descendances des trois filles sont reconstituées, par contre des trois garçons on retrouve uniquement la descendance de notre ancêtre Mathurin (n°2).


Mathurin PAVAGEAU (n°2) est né en 1694 à Saint Hilaire de Loulay, il épouse dans la même commune en 1717 Mathurine SUAUDEAU, celle ci décède en 1724. Cinq enfants sont nés de ce premier mariage, trois filles et deux garçons, seulement les descendances d'un des garçons eu d'une des filles de ce mariage sont reconstituées.

Mathurin PAVAGEAU (n°2) épousera en secondes noces fin 1724 (moins d'un an après le décès de sa première épouse), Mathurine DOUSSIN originaire de la Bernardière. Trois enfants naîtront de ce mariage, dont seule la descendance du petit dernier Mathurin (n°3) notre ancêtre est reconstituée.

Mathurin PAVAGEAU (n°2) épousera en troisième noces probablement en 1738 et à Saint Georges de Montaigu une certaine Françoise CHIRON,  ce mariage est resté sans descendance.


nota : Avant le 15 février 1739 Mathurin PAVAGEAU (n°2) vivait avec son épouse Françoise CHIRON et les enfants de celle-ci au Pin de Saint Hilaire de Loulay.

Le 15 Février 1739 Mathurin PAVAGEAU, Françoise CHIRON sa femme, François et Françoise BUCHET (enfants du premier mariage de Françoise CHIRON) signent à Montaigu un bail de fermage de trois ans pour la Métairie du Vivier à Saint Georges de Montaigu.

Le 6 décembre de la même année ils signent un bail pour le cheptel de la métairie idem et l'entrée en jouissance des bâtiments.


Mathurin PAVAGEAU (n°3) est né à Saint Hilaire de Loulay en 1728, il épouse à Boufféré en 1753 Marie BASTY originaire de cette commune, le couple s'installe dans cette commune. Mathurin décède très jeune en 1761, âgé seulement de 33 ans. Le couple eut deux enfants, Louis en 1753, qui épousera en 1775 à Saint Georges de Montaigu Françoise BIZET originaire de cette commune, le couple s'y installera. Six enfants sont nés de ce mariage, toute les descendances sont reconstituées, grâce à l'aide d'une "petite cousine" descendante de cette lignée. Le second fils du couple n'est autre que Pierre né en 1756, toujours à Boufféré, notre ancêtre Herbretais.

Qu'est devenu Marie BASTY la veuve de notre ancêtre seulement âgée de 26 ans au décès de son mari, aucune recherche à ce jour n'a permis de la localiser, ce n'est pas faute d'avoir essayer. Une dizaine de personnes portant les mêmes nom et prénom ont été relevées, sur une période correspondante, mais après vérification sans aucun rapport. On sait seulement qu'elle était décédée lors du mariage de Pierre en 1783, elle aurait eu à l'époque 47 ans. L'acte de mariage de son frère Louis, huit ans plus tôt aurait peut-être apporté un élément de réponse, hélas, d'acte de mariage n'y a pas, la date retenue provient d'un acte virtuel, le registre correspondant ayant été détruit.


Pierre PAVAGEAU (n°1) notre ancêtre Herbretais arrive dans la région des Herbiers vers 1775, on le retrouve domestique à la Goriandière du Petit Bourg. En 1783 Pierre épouse au Petit Bourg, Jeanne BAUBRY originaire de la Glasnière des Herbiers. Le couple réside dans un premier temps à l'Emantruère des Herbiers, ou Pierre est probablement domestique, leurs deux premiers enfants naîtront dans ce village. A partir de 1787 on retrouve le couple au Plessis des Herbiers ou naîtront également deux enfants. Le premier enfant décédera à la naissance, le second âgé de dix huit mois, le dernier décédera âgé de quinze ans, seul subsistera Pierre né en 1787, notre ancêtre. Pierre (n°1) fut réquisitionné dans l'armée révolutionnaire, il sera tué le 14 août lors de la seconde bataille de Luçon. Le couple exploitait une borderie au Plessis Moreau, Pierre ayant signé le premier juillet 1786, un bail de fermage aux Herbiers pour une durée de cinq ans. En 1804, Jeanne BAUBRY résident toujours au Plessis, puisque son dernier fils y décède, par contre elle décèdera à la Dabretière en 1824, chez son fils Pierre.


Pierre PAVAGEAU (n°3) est donc né au Plessis en 1787, lors de son mariage aux Herbiers en 1812, il est déclaré domestique à Ardelay. Il épouse donc Perrine ARNOU originaire de la Maison Neuve du Petit Bourg, Perrine est veuve de Jacques ROTURIER décédé à la Dabretière le 26janvier 1810.

Quand on sait que le dit Jacques COUTURIER était fils unique d'un certain René COUTURIER sabotier aux Peux et possédant une borderie à la Dabretière on comprend mieux comment les PAVAGEAU sont devenus propriétaires à la Dabretière

Jacques ROTURIER et Perrine ARNOU eurent une fille Perrine née le 11 août 1809, elle décède le 9 mars 1813. Au décès de Jacques Couturier, c'est sa fille Perrine, âgée seulement de six mois, qui devint héritière de la borderie de la Dabretière. Perrine décède le 9 mars 1913 et c'est naturellement sa mère (qui entre temps avait épousé Pierre PAVAGEAU) qui hérite de la borderie de la Dabretière.


Voilà comment les PAVAGEAU devinrent propriétaire à la Dabretière.


Le couple eut six enfants, cinq garçon et une fille. l'aîné Pierre né en 1815, épousera en 1837 Marie YOU, le second Charles Joseph né en 1814, décédera sitôt sa naissance, Louis Auguste né en 1820 épousera en 1850, Françoise Marguerite BRIN, Joseph Alexis né en 1823 décédera âgé à peine de trois ans, Perrine Henriette née en 1826 décèdera âgée d'environ cinq ans et enfin notre ancêtre Jean Baptiste Dominique né en 1816, épousera en 1844 Marie Geneviève YOU qui n'est autre que la soeur de Marie, mariée sept ans plus tôt à Pierre PAVAGEAU.

Les soeurs YOU sont les filles de Jacques YOU meunier au Moulin des Peux, en règles générales, les mariages dans la meunerie sont inter-professionnels, les soeurs YOU ont donc dérogé à la règle, mais j'ai peut-être l'explication.

En effet, j'ai découvert récemment, qu'il existait un moulin à vent à la Dabretière, dans la période 1830/1880, peut-être était-il exploité par les YOU, ce qui aurait pu provoquer les rencontres avec les "jolies meunières". Il n'est donc pas impossible que notre ancêtre Jean Baptiste Dominique et son frère Pierre aient cumulés les professions de cultivateurs et meuniers, c'était chose fréquente, surtout aux Herbiers.

Voir mon site sur les meuniers


Jean Baptiste Dominique PAVAGEAU notre ancêtre et Marie Geneviève YOU eurent six enfants, trois garçons et trois filles, Marie Geneviève née en 1847, épousera en 1869 Pierre Jean Baptiste JOUSSET, Louis Auguste né en 1849 décédera âgé de moins de deux ans, Constance née en 1852 décédera âgée de trois ans, Henriette née en 1855 épousera en 1877 Louis COUTANT, Pierre né en 1857, ne vivra que trois mois et enfin l'aîné, Jean Baptiste notre ancêtre né lui en 1844.


Jean Baptiste PAVAGEAU notre ancêtre né en 1844, épouse aux Herbiers en 1872 Adélaïde Philomène CAILLAUD originaire de l'Audonnière des Herbiers. Le couple aura trois enfants, Jean Baptiste né en 1874 et qui épousera en 1902 Berthe Constance ROUSSIERE native d'Ardelay, le couple aura un fils Jean Baptiste né vers 1904 et qui épousera Marthe SORIN, les parents de Jean Bernard et Marie-Thérèse PAVAGEAU, les derniers exploitants de la propriété de la Dabretière (Jean Bernard serait toujours de ce monde en 2012)

Seconde, Marie Eulalie née en 1875, décèdera en 1887 et enfin le benjamin de la couvée, notre aïeul Alcide Louis Auguste, né en 1879, toujours à la Dabretière.


nota : Jean Baptiste PAVAGEAU et Adélaïde CAILLAUD deviendront officiellement les métayers de la Dabretière par un acte amiable signé le 25 juillet 1886 avec Marie Geneviève YOU, veuve et propriétaire. Jean Baptiste décèdera à la Dabretière en 1920 et c'est son fils aîné Jean Baptiste qui lui succédera à la Dabretière, alors que le Cadet, Alcide Louis Auguste notre ancêtre s'installera lui, à la Lande sur la propriété de ses beaux-parents HUVELIN. 


Alcide Louis Auguste PAVAGEAU notre ancêtre est né en 1879, il épouse aux Herbiers en 1906, Marie Augustine HUVELIN, (Voir généalogie HUVELIN) native du village de la Lande. Le couple s'installe donc sur la propriété des HUVELIN à la Lande, en association avec ceux-ci, ensemble ils constituèrent une "Société civile mobilière universelle de gains et d'industrie à durée illimitée" (Voir récit de René PAVAGEAU).

La Propriété de la Lande a été obtenue, partiellement par succession des BARRE, (Marie Henriette BARRE, épouse de Augustin Mathurin HUVELIN, les parents de Marie Augustine notre grand-mère) La seconde partie de la ferme fut acquis par Alcide Louis Auguste PAVAGEAU et Marie Augustine HUVELIN nos grands-parents, en 1910.

Nos grands parents eurent cinq enfants, Alcide né en 1907, Jean Marie né en 1908, Roger né en 1910, Constant né en 1911 et enfin Joseph né en 1913 décédé âgé de trois mois.

En plus de la propriété de la Lande, les PAVAGEAU ont acquis par je ne sais quel "tour de magie", une propriété à la Baudonnière du Petit Bourg. Lors du partage des biens de la communauté PAVAGEAU, la Lande fut divisée en deux et exploité par Jean Marie et mon père Roger, alors que la Baudonnière revint à Alcide et Constant.


Alcide PAVAGEAU est né en 1907 à la Lande, il épouse en 1931 Madeleine DAVIAUD originaire de la Primetière des Herbiers, trois enfants sont nés de cette union, Marie Madeleine en 1932, René en 1939 et Jean Claude en 1940, tous à la Lande, plus précisément dans la maison de la Butte. Au printemps 1951, mon père Roger qui exploitait en communauté avec ses beaux-frères et beaux-parents la métairie de l'Ivrenière, rapatria toute sa petite famille dans la maison de la Butte, (qui était sa propriété avec les terres attenantes) où nos deux familles vécurent en commun pendant six mois (dix personnes en deux pièces) !! Ce retour à la Butte fut organisé pour la raison suivante, la métairie de l'Ivrenière, propriété de la famille industrielle RONDEAU fabricant de chaussures aux Herbiers, fut vendue. Ce retour coïncidait avec le projet de Alcide de partir s'installer en tant que cultivateur au Vigeant dans la Vienne en association avec son gendre Eugène MOULIN, ce qui fut fait à la Toussaint 1951.

Marie Madeleine PAVAGEAU et Eugène MOULIN aujourd'hui retraités cultivateurs, vivent aujourd'hui près de leurs enfants à Iteuil près de Poitiers.

Jean Claude PAVAGEAU qui avait épousé Marie Louise THOMAS, vécut jusqu'à son décès en 2003, au Vigeant, il était cultivateur salarié.

René PAVAGEAU et Marie Ange LEAU tous les deux retraités de l'enseignement, résident à Saint Lambert du Lattay dans le Maine et Loire.


Jean Marie PAVAGEAU est né à la Lande en 1908, il épouse à Beaurepaire en (vers 1933), Marguerite PIVETEAU, le couple s'installe dans la maison de la Lande et exploite les terres attenantes, le tout étant issu du partage des biens des parents. Trois enfants naîtront de ce mariage, Jeanne en 1934, Michel en 1938 et Camille en 1940.

Jean Marie décèdera en 1956 âgé seulement de 48 ans, et c'est Michel son fils âgé seulement de dix huit ans qui prit la succession secondé par sa mère. Michel décèdera lui aussi très jeune en 1982 âgé seulement de 44 ans.

Jeanne PAVAGEAU et son mari Michel SEGUIN retraités, vivent aux Herbiers.

Michel PAVAGEAU est décédé en 1982, son épouse Germaine MARROT a refait sa vie et est veuve une seconde fois.

Camille PAVAGEAU après avoir habité à la Vincère avec son Mari Claude BONNENFANT décédé en (?), vit aux Herbiers


Roger PAVAGEAU mon père est né en 1910 à la Lande, en 1938, il épouse aux Herbiers Marie Thérèse RENOU native de l'Ivrenière, le couple travaille en association avec ses beaux-frères et beaux-parents sur la métairie, exception faite de 1940 à 1945 ou il fut prisonnier en Autriche. Ma soeur aîné Marie Alice est née avant guerre, en 1939, mon frère Roger né en 1940, a connu son père qu'à son retour de captivité et moi Jean Yves je suis né après guerre en 1948 également à l'Ivrenière, tant qu'à mes deux soeurs cadettes Claudine en 1952 et Jeannine en 1959 elles sont nées à la Butte. 

Mon père s'installa donc dans la maison de la Butte en 1951, devenue sa propriété par le partage des biens de ses parents, de même que les terres attenantes qu'il exploita jusqu'à sa retraite. Terres auxquelles s'étaient ajoutés quelques hectares acquis par lui, plus quelques autres issus de l'héritage côté de ma mère.

A la retraite de mon père, c'est Michel PAVAGEAU mon cousin germain qui reprit en location la totalité des terres, qu'il exploita jusqu'à son décès prématuré en 1982.


La maison de la Butte dans le patrimoine PAVAGEAU, c'est une maison relativement récente, car si mes souvenirs sont bons, elle fut construite en 1889.  Par qui ? Surement pas par les PAVAGEAU, mais probablement par les parents de notre aïeule Marie Augustine HUVELIN, à savoir le couple Augustin HUVELIN et Marie Henriette BARRE (pour info ce couple s'était marié en 1885) Notre grand-mère HUVELIN étant fille unique, ce bien lui revenant naturellement. Le terrain sur lequel fut construite la maison, appartenait-il au couple HUVELIN/BARRE où fut-il acheté pour la circonstance, je n'ai pas la réponse.

Pour info, après le décès de nos parents la maison fut vendue et c'est Jean Louis GUERIN fils de Louis et petit Fils de Louis GUERIN, nos voisins de la Libergère, qui l'a acquise, elle est pour ainsi dire restée dans la famille, puisque Jean Louis GUERIN est marié avec ma cousine germaine Maryvonne RENOU.


Marie Alice PAVAGEAU et son mari André PUAUD retraités, résident à Cholet.

Roger PAVAGEAU mon frère est décédé en 1997, il résidait à Beaurepaire, où réside toujours son épouse Marie Joseph JOUSSET avec son fils célibataire, Erik.

Jean Yves PAVAGEAU, moi-même, retraité, je réside avec mon épouse Monique LACAZE à Commequiers

Claudine PAVAGEAU, réside avec son mari Roger EUZEN à Basse Goulaine en Loire Atlantique

Jeannine PAVAGEAU, réside avec son mari Julien LOIZEAU, à la Gaubretière


Constant PAVAGEAU est né en 1911, il épouse aux Herbiers le 17 mai 1941, Alice DRAPEAU née aux Herbiers à la Petite Epinay. La famille vécut à la Verdure, une maison acquise par eux et actuellement propriété de Marie Jeanne leur fille. Ils auront deux enfants, Marie Jeanne née en 1942 et Jean Luc en 1943.

Constant était propriétaire pour moitié de la propriété de la Baudonnière (l'autre moitié appartenant à Alcide), mais il ne l'exploita pas, cultivateur domestique avant son mariage, il devient ouvrier en chaussure à l'usine RONDEAU, tandis son épouse Alice était ouvrière en confection dans l'entreprise GUILBAUD.

Marie Jeane PAVAGEAU réside à la Verdure, son mari, Rémi DURAND est décédé en 1997.

Jean Luc PAVAGEAU, infirme, est décédé en 1989.


Partis de rien, les PAVAGEAU ont malgré tout réussi a se constituer un petit patrimoine, cela commence par la Dabretière, probablement acquise par héritage (ROTURIER) par Pierre PAVAGEAU et Perrine ARNOU, idem la Lande par moitié de la succession BARRE, par Alcide Louis Auguste PAVAGEAU et Marie Augustine HUVELIN son épouse, héritière (fille unique) de ses parents. Reste le mystère de la métairie de la Baudonnière aux Petit Bourg, encore un héritage, mais de qui ? Du côté HUVELIN, personne ne résidait au Petit Bourg, côté BARRE, je ne pense pas, peut-être est-ce une acquisition de nos grand parents Alcide Louis Auguste PAVAGEAU et Marie Augustine HUVELIN, pourquoi pas !!


Comment s'est constitué le patrimoine des PAVAGEAU.


Lorsque l'on remonte à notre arrière grand-père, Augustin Mathurin HUVELIN, quand il épouse Marie Henriette BARRE, il a 24 ans, né au milieu d'une "couvée" de neuf enfants, de parents qui ont la bougeotte et dont le père termine taupier, il ne roule probablement pas sur l'or. Il faut donc chercher du côté des BARRE, notre arrière grand-mère n'avait qu'un frère, Pierre Onézime BARRE, célibataire décédé à la Lande en 1911, donc sa soeur était la seule héritière.

Les BARRE étaient à la Lande bien avant 1737, année référence au Herbiers ou l'on a les premiers actes religieux, donc on peu présumer qu'ils ont réussis à se constituer un petit patrimoine.


Voilà retracé l'itinéraire de nos ancêtres PAVAGEAU en ligne directe, d'environ 1650 à aujourd'hui, mais l'histoire n'est pas terminée, du côté de la Vienne la descendance perdure idem du côté de Saint Aubin etc.....

J'aurai pu élargir ce résumé également aux branches cousines de notre descendances, j'ai tout l'inventaire en magasin, mais je n'ai pas de détails autres que mes données généalogiques pour en retracer l'histoire. C'est la même chose concernant la descendance à Saint Georges de Montaigu de Louis PAVAGEAU, le seul frère de notre ancêtre Herbretais Pierre, j'ai reconstitué une grande partie de sa descendance, bien aidé pour ce faire par Sophie PAVAGEAU, une de ses descendantes, avec qui je suis en relation.

Sophie avait commencé ses recherches généalogiques avant moi et elle m'a contacté lorsqu'elle s'est aperçue, un peu sceptique au tout début, que j'attribuais à son ancêtre un frère ayant vécu aux Herbiers. Faut dire qu'il y a quelques années l'engouement pour la généalogie n'était pas celui qu'il est aujourd'hui, mais la branche de Saint Georges de Montaigu, avait été étudiée.


Du côté des Herbiers, mis à part l'étude réalisée par René notre cousin, personne ne s'était penché sur notre patronyme. René ayant stoppé ses recherches au niveau de la Révolution, lorsque j'ai repris son dossier, j'ai tout de suite eu envie de pousser les recherches plus loin. Après avoir exploité vainement la piste qu'il indiquait sur son dossier, à savoir la région du Boupère, je suis donc reparti à zéro. En examinant minutieusement l'acte de mariage de Pierre aux Petit Bourg, il n'y avait pas de doute, ce n'était pas le Boupère qu'il fallait lire, mais bien Boufféré, (à une lettre près l'orthographe était le même, Boufféré étant écrit avec un seul "f" qu'on pouvait prendre pour un "p"). La suite fut relativement facile.


Cousins cousines, n'hésitez à m'apporter vos compléments d'infos, de façon à ce que ce résumé soit le plus exact possible. Hélas les dernières personnes qui auraient été précieuses pour élucider certains détails, nos parents, ne sont plus de ce monde.


En conclusion, je dirais au jeunes, n'attendez pas d'être vieux pour vous intéresser à la généalogie, profiter de la mémoire encore vivante.


Jean Yves

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